Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.


Image
 
AccueilRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
-50%
Le deal à ne pas rater :
Samsung 50Q60D – TV QLED 50″ (127 cm) 4K UHD (ODR de 150€)
399 € 799 €
Voir le deal

 

 Etrange

Aller en bas 
AuteurMessage
lune
Admin
lune


Féminin
Nombre de messages : 132
Age : 40
Date d'inscription : 31/10/2006

Etrange Empty
MessageSujet: Etrange   Etrange Icon_minitimeMar 31 Oct 2006, 08:13

Témoignage d’état modifié de conscience

Le témoignage de Marianne, psychologue



Le T.R.E.I. suivant que nous avons choisi de publier émane d’une personne en retraite dont la profession était psychologue. Elle nous confie son témoignage sans détour, avec la conviction de ne pas avoir souffert d’une hallucination. Elle est bien placée pour en juger...

Ce témoignage est certifié authentique, ni interprété, ni brodé. L’expérience ne pouvait être démontrée, mais un témoin fortuit a pu rendre compte de l’état non onirique, non hystéroïde du sujet. Elle vaudra d’ici quelques années (tout comme la véracité des NDE s’est imposée de manière empirique au fil du temps), au fur et à mesure des déclarations qu’en feront les témoins, confortés dans la fiabilité de leur intégrité mentale par le nombre croissant de ceux qui auront vécu les mêmes moments, sans préalable concertation.

Notre petite-fille, Stéphanie, était venue au monde avec certaines malformations des extrémités qui ne mettaient pas son existence en danger. Le plus grave était cependant la fente palatine qui nécessitait de l’intuber* 7 puis 6 fois par jour, pour la “ gaver ”, au moindre risque de la voir s’étouffer. Une malformation cardiaque (opérable ultérieurement) avait été décelée au bout de quelques semaines, et le pronostic (de ce fait) s’était alors quelque peu assombri.

Une nuit très noire, vers 3 h le matin, un appel téléphonique me réveille en sursaut, provenant de l’hôpital où survit la petite depuis sa naissance. L’enfant vient de mourir.

J’oppose de toutes mes forces un déni maximal à la vérité qui s’impose : Stéphanie n’est plus. La douleur cependant me transperce.

Après les diverses formalités et l’accueil de la famille toute la journée, vers 17 h, épuisée, je demande à mon époux de vérifier les devoirs de nos deux plus jeunes enfants, d’âge scolaire, et monte à l’étage me reposer.

Une énorme brèche noire s’est creusée en moi, dans laquelle je me suis immiscée, enfoncée, engloutie : “ Jamais je ne remonterai de cet abîme. J’espérai trop en ta guérison, et je t’ai vue souffrir trop longtemps. Mes ressorts sont brisés. ” C’est à Stéphanie dont le petit corps repose juste au-dessous de ma chambre que je m’adresse, que j’exprime l’intensité de ma douleur. Mystère ou sens de la souffrance ? Ils prennent ici toute leur acuité, mais je ne suis pas en mesure à cet instant de résoudre, d’élucider le premier, pas plus que je ne puis donner consistance au second. Je me sens, en quelque sorte, vidée de ma substance.

Est-ce réel ? Est-ce un leurre de “ défense ” de mon inconscient ? Quelque chose de très doux, de merveilleusement suave, me touche au sens concret du terme, là où on a coutume de localiser le cœur-émotion, le cœur-sentiment (et dont la notion recouvre celle, bien physiologique, de plexus solaire, centre nerveux sympathique capital dans l’économie affective).

Un bonheur inconnu commence à monter, à enfler dans ma poitrine, un bonheur d’une qualité que je n’ai jamais ressenti, à aucun des moments les plus marquants de mon histoire d’épouse et de mère... Cette joie ineffable m’envahit, m’inonde, me submerge, si intense, si décapante que j’en suffoque littéralement et qu’il me semble que mon cœur va ECLATER de bonheur. De manière tellement imprévue et paradoxale puisque je n’étais que douleur l’instant précédent.

Simultanément, extérieure à moi cette fois, quelque chose de l’ordre d’une immense et enveloppante caresse, délicieuse, vient m’entourer en une spirale paradisiaque qui évoque en mon esprit, peut-être à cause de l’amplitude de ce tourbillon, l’image de l’aile d’un “ archange ” qui viendrait m’apporter une inestimable consolation. Ou peut-être tout simplement celle de l’esprit de ma petite-fille qui, prenant le relais avec le mien, s’identifiait à moi en quelque sorte, me faisait vivre cette décorporation, ce début de voyage dans le “ tunnel ” de lumière, dont je n’entendrai parler qu’une dizaine d’années plus tard. Et duquel je ne voulais plus revenir non plus : “ mais si c’est cela qu’on appelle la mort, je voudrais mourir tout de suite ”. Il fallait que cette expérience soit au sens fort du terme RAVISSANTE pour bouleverser ainsi et annihiler mes peurs antérieures, mon rejet, mon horreur de la mort.

“ Il va falloir que je pérennise ton souvenir ma chérie. Trois mois sur cette terre sont tellement courts, et la faculté des humains si grande. Je vais écrire pour toi un poème avec Marie-Claire ” (ma benjamine).

J’ai à peine le temps de formuler mentalement cette intention. La porte parallèle à mon lit où je viens de vivre cette fabuleuse expérience s’ouvre. Marie-Claire entre dans la chambre avec, entre ses mains, un papier blanc qu’elle tend vers moi : “ Maman, veux-tu lire et me dire ce que tu en penses. Je viens de faire un poème pour Stéphanie ”... C’était bien l’esprit de ma petite-fille qui m’avait informée, prévenue, de ce que, sans le savoir, ma benjamine était en train de libeller pour elle, et que j’ai quelque peu modulé (en fin de texte seulement). Et Marie-Claire a pu constater de visu que je n’étais pas endormie, mais que je paraissais extraordinairement heureuse peu de temps après m’avoir quittée dans la plus profonde des afflictions.


Source:paranormal-info.com
Revenir en haut Aller en bas
 
Etrange
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 :: Le paranormal :: Décorporations-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser